Des dessins animés mettent en scène des couples comme ceux de La belle et la bête, Quasimodo et Esméralda dans « Le bossu de notre Dame » pour nous inculquer, dès la plus tendre enfance, qu’il y a quelque chose d’autre sous l’aspect physique, qu’il soit beau ou repoussant. Et très souvent, sous l’aspect repoussant, se cache le cœur le plus pur. Ces personnages restent gravés dans nos inconscients et nous rappellent sans cesse que l’aspect physique seul ne définit pas une personne, et que la beauté doit être aussi bien intérieure qu’extérieure. Dans un monde où l’apparence prend une grande place, il est important de cultiver une beauté intérieure afin de faire la différence, et ce, en toute circonstance.
Quand le proverbe dit que « l’habit ne fait pas le moine », il est clair qu’il est question de dire que l’apparence, la beauté physique et le paraitre ne sont pas suffisants pour définir une personne dans sa globalité. Le fait est que la beauté physique facilite l’accès à certains cercles, mais pour y rester, il faut montrer une beauté intérieure aussi impressionnante. Une personne n’est définie entièrement que sur ces deux critères : celui beauté physique et la beauté intérieure. Le siècle dans lequel nous vivons est tellement obsédé par l’apparence physique que le proverbe initial s’est étiré de quelques mots : «… mais c’est par l’habit qu’on reconnait le moine. » Alors dans un monde où tout est constamment en mouvement, où seule l’apparence définit les rapports, où il n’y a plus aucune place pour le moi profond, il est primordial de savoir qui on est, de quoi on est capable, ce qui définit nos forces et nos faiblesses. Il est primordial d’avoir en soi un régulateur de conscience dans les actes posés envers les proches.
La suite de cet article à lire à la page 35 du DAGAN Magazine N°18