Une pensée et un geste pour tous les enfants trisomiques !
Ce 21 mars, au Centre Culturel Loyola l’Association Mères Amis des Enfants trisomiques (AMAETRI) en collaboration avec la Jeune Chambre Internationale, (JCI) ont organisé la célébration de la journée mondiale de la Trisomie 21. Cette célébration a réuni différents professionnels, amis et sympathisants de la cause autour du thème « Place des enfants trisomiques en milieu scolaire », afin d’améliorer davantage la situation des enfants trisomiques et favoriser leur inclusion dans le système éducatif togolais.
Le 21 mars est la journée mondiale de la trisomie 21. l’AMAETRI s’est tenue aux côtés de la JCI Agoe-Nyivé Pioner, représenté par son président et la Présidente nationale de la JCI Togo, pour la célébration de la journée mondiale de la Trisomie 21. En plus des différents professionnels qui ne cessent d’œuvrer pour l’éducation complète et l’autonomie des enfants trisomiques, cette célébration a vu la participation de l’Organisation Mondiale de la Santé, de l’Action Sociale d’Agoe-Nyivé et de la mairie d’Agoè-Nyivé. Le but de cette célébration étant d’attirer l’attention du public sur la place des enfants trisomiques en milieu scolaire et de mettre fin aux préjugés sociaux qui détruisent les couples et les familles dans lesquels naissent ces enfants et impliquer les pères dans la prise en charge de ces enfants différents qui trop souvent sont le fardeau de la mère.
La marraine du projet du côté de l’AMAETRI, Krystel DICOH et le parrain du projet du côté de la JCI Agoè-Nyivé Pioner, le sénateur Josué WONAM ont réitéré leur soutien indéfectible pour aider à changer le regard posé sur les enfants trisomiques. Le Directeur du centre Envol de Nukafu, Komi TSOGBE a développé les différentes étapes de la formation des enfants trisomiques et mis l’accent sur l’intervention des différents spécialistes (le kinésithérapeute, l’orthophoniste) qui interviennent auprès des enfants pour une formation efficace et complète. La trisomie 21 n’est pas une tare, elle est une maladie et ceux qui en souffrent ont besoin d’être correctement encadrés pour une meilleure inclusion.
Martine ABOTCHI