Beaucoup de personnes ne rêvent de rien pour elles-mêmes, se contentant de suivre le cours des événements ou d’accepter ce que la vie et leur environnement leur imposent. Et lorsqu’elles osent rêver, elles se fixent inconsciemment des limites qui réduisent considérablement leurs ambitions.
Or, rêver est un processus qui ne devrait être borné que par ce que nous ne désirons pas. Si nous voulons grand, nous devons rêver grand, sans retenue.
L’ampleur de nos réalisations dépend directement de nos aspirations initiales En effet, un rêve limité engendre inévitablement des résultats étriqués.
Nos rêves sont le point de départ de toute construction personnelle et professionnelle : plus ils sont vastes et ambitieux, plus nous ouvrons le champ des possibles. Pourtant, nous nous restreignons souvent pour deux raisons principales.
D’abord, nous sommes influencés par les contraintes et les interdits que notre environnement suggère. Ce qui nous entoure nous persuade que certaines choses sont impossibles, nous amenant à brider nos ambitions.
Ensuite, nous confondons souvent le rêve avec la planification nécessaire pour le concrétiser. Cette confusion nous pousse à nous imposer des limites avant même d’avoir laissé nos aspirations s’exprimer pleinement.
Mes amis, rêver est une chose, et mettre en place les moyens pour y parvenir en est une autre.
Il est naturel que nos rêves paraissent irréalisables au départ. Mais, cela ne doit pas nous arrêter. Après avoir laissé libre cours à nos aspirations, il sera alors temps d’élaborer un plan structuré, étape par étape, soutenu par une détermination sans faille et une exécution rigoureuse. Mais la première étape, essentielle, est d’oser rêver sans barrière.
Nos rêves nous appartiennent pleinement. Aucune autorité, aucune institution, aucun individu ne peut nous dicter ce à quoi nous devons aspirer.
Rêver est un droit fondamental, un espace de liberté absolue que personne ne peut nous enlever.
Les leaders le comprennent bien : ils refusent que quiconque rêve à leur place, conscients que leur destin leur appartient. Seuls eux peuvent imaginer, façonner et bâtir l’avenir qu’ils désirent.
Finalement, permettez-moi de vous rappeler que les rêves ne font aucun mal. Le véritable danger serait de ne pas en avoir. Car sans rêves, il n’y a ni ambition, ni construction, ni destinée à accomplir.