Le taro est un tubercule beaucoup cultivé dans les régions ouest-africaines, notamment au Ghana, au Burkina Faso, au Nigeria, au Togo… Il est dans la même classe que ses voisins, l’igname, le manioc ou la patate douce. Il peut être consommé sous diverses formes, à savoir : pilé comme de l’igname (foufou), fumé, ou mangé en tranche avec de l’huile au piment et à la tomate.
Si nous le consommons comme un plat ordinaire, ce dernier du fait de ses différents composants regorge de beaucoup de bienfaits sur notre santé.
En effet, le taro est riche en fibres, en vitamines C, B1 et B2. Mais aussi en calcium, en fer et en phosphore. Pour la nutritionniste togolaise, Éloïse Gbati, sa riche composition en fibres ainsi que ses protéines participent à réduire les envies de grignotages. Il aide aussi à résoudre le risque de diabète.
Mis à part les tubercules, les feuilles, elles aussi,, possèdent des avantages. Pour beaucoup d’autres nutritionnistes, ces feuilles contribuent à prévenir le processus de vieillissement.
Autres bienfaits :
- Régule la fonction cardiaque
- Bon pour la santé cardiovasculaire
- Lutte contre la fatigue
Bon à savoir : d’après l’Organisation des Nations unies chargée de l’alimentation, l’Afrique est le premier producteur du taro. Sa capacité de production est estimée à 75 % de la production mondiale. Le premier pays producteur du taro au monde est le Nigeria, avec 44 % de production.
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